hors des chemins du parc
l’invisible remue dans sa cage
des feuilles tapissent un sol
qu’il ne faut pas fouler
— du ciel stoïque devant
les chatouillis de la canopée
ne coule rien : pas une goutte
de lyrisme dans ce poème
juste une vague impression d’enfermement
; le véritable univers
inaccessible entier dans
une ironie rectangulaire
Une photo, un poème sporadique, #11
vendredi 16 février 2024. Lien permanent Jeux littéraires